Remarquable. Il m'a fallu du temps pour comprendre que vous étiez derrière une vitre. Ou : j'ai mis du temps à comprendre. Mi-con-prendre. Disons: jouissance (peu rapide, pour le coup, donc plus suave car différée) de spectateur. Question de bord-cadre, peut-être (je ne sais rien de la « pelote basque »). Disons, à regarder ce film, que le meilleur texte écrit sur Serge Daney est celui de Marguerite Duras (la préface à son livre sur le tennis). Quand il « devient » écrivain, selon elle. Ici, vous êtes cinéaste.
J’ai peu le temps de regarder les films sur internet (contrainte salariale). Souvent, je coupe le son. Dommage. Un blog fantôme, un jour.
Indépendamment des éloges que vous proférez (merci, merci), juste une précision: je ne suis pas derrière une vitre mais dans une sorte de cage à claire voie située à l'arrière du terrain. Je ne connais pas non plus la pelote (et d'ailleurs je ne suis pas sûr qu'il faille employer ce terme à propos de cette variante du jeu).
3 Comments:
Remarquable. Il m'a fallu du temps pour comprendre que vous étiez derrière une vitre. Ou : j'ai mis du temps à comprendre. Mi-con-prendre. Disons: jouissance (peu rapide, pour le coup, donc plus suave car différée) de spectateur. Question de bord-cadre, peut-être (je ne sais rien de la « pelote basque »). Disons, à regarder ce film, que le meilleur texte écrit sur Serge Daney est celui de Marguerite Duras (la préface à son livre sur le tennis). Quand il « devient » écrivain, selon elle. Ici, vous êtes cinéaste.
J’ai peu le temps de regarder les films sur internet (contrainte salariale). Souvent, je coupe le son. Dommage. Un blog fantôme, un jour.
Philippe Larollière
Indépendamment des éloges que vous proférez (merci, merci), juste une précision: je ne suis pas derrière une vitre mais dans une sorte de cage à claire voie située à l'arrière du terrain.
Je ne connais pas non plus la pelote (et d'ailleurs je ne suis pas sûr qu'il faille employer ce terme à propos de cette variante du jeu).
Oui, bien sûr, l’absence de vitre – et vous vous déplacez pour continuer à filmer quand la balle arrive.
Philippe Larollière
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